Contrairement à un bon nombre d’étudiants, j’évite autant que possible d’étudier la veille d’un examen. Pourquoi ? me diriez-vous. Tout simplement parce je risque de semer des doutes dans ma tête en le faisant.Pour moi, un étudiant préparant un examen est semblable à un athlète préparant une finale: la préparation se fait longtemps à l’avance et non pas la veille.Ceci dit, cette tactique, tout en étant efficace pour moi, pourrait ne pas l’être pour vous. Si étudier la veille d’un examen vous permet d’obtenir de bonnes notes, il n’y pas de raison pour changer vos habitudes. Après tout, on ne change pas une équipe gagnante, n’est-ce pas ?
Alors? L’équipe a triomphé?
J’espère 🙂
L’examen FR 252, comme le précédent FR 251, est divisé en deux parties. La première partie consiste de divers exercices, alors que la deuxième partie consiste à rédiger une composition.
Sans vouloir être prétentieux, je dirais que la première partie est relativement très facile et pour FR 251 et pour FR 252. Les heures et les heures de pratique ont rapporté leur fruit. C’était plus difficile pour les rédactions, non pas que je ne sache pas écrire 🙂 mais plutôt que je ne m’entraîne pas dans les mêmes conditions (contrainte de temps). Je m’explique: pour les devoirs/contrôles, je passe énormément de temps sur mes rédactions. Je veux qu’elles soient parfaites. Pour te donner une idée, la conclusion de ma dernière rédaction (60 mots) m’a coûté trois heures.